samedi 2 juillet 2011

Une histoire de pieds inédite !



Un nouveau récit, dans lequel je me suis intéressé au coté "soumis-dominant", à travers un jeu. J'attends votre avis sur nouvelle histoire dans vos commentaires ;) Bonne lecture !




Pari Sportif  

Mon colocataire au lycée, Lucas, était connu comme un des gars les plus forts et musclés.
Cheveux bruns foncés, yeux perçants bruns. Il était très gentils et nous étions devenus très vite amis, devant partager notre chambre d'internes. Nous avions plusieurs points communs qui nous rapprochaient particulièrement. Par exemple, nous pouvions passer des heures assis sur un de nos lits à parler de football, des gens du lycée, etc. nous aimions parler ensemble.

Un après midi, nous étions devant la télévision : c'était un moment comme j'aimais passer avec lui... Tous les deux avachis sur le canapé, avec nos pieds posés sur la table, la bière à la main. Tranquilles ! Nous regardions le match Paris Bordeaux. Lui défendait l'équipe parisienne et moi celle bordelaise, ce qui nous amena très rapidement à poser un pari !
« Léo, tu veux faire un pari ? me demanda-t-il
- J'ai pas d'argent, donc nan ! répondis-je froidement
- Ah ! Donc tu as peur de perdre...
- Ha ! souris-je. Non, c'est juste que je ne parie pas si je n'ai rien à poser sur la table ! »
Lucas réfléchit un instant, but une gorgée de bière et dit, d'un sourire diabolique :
« J'ai une meilleure idée ! Plutôt que de parier de l'argent, le perdant deviendra l'esclave du vainqueur pendant tout un week-end !
- Tu es sérieux ? demandai-je souriant mais tout de même étonné...
- Oui, très. L'idée me plait bien. Tu joues avec moi ?
- OK, répondis-je confiant. »
A chaque fois que mon équipe marquait un but, je souriais en le regardant. Par contre quand son équipe marquait, je devais avoir l'air vraiment apeuré. Je ne savais vraiment pas ce que mon colocataire mijotait...
Même si nous avions fait un pari, je profitais de ce match pour admirer mon ami Lucas, avachi sur notre canapé. La bière toujours dans sa main gauche, et la télécommande dans la main droite ; il était comme un roi. Ses pieds en chaussettes posés sur la table. Je regardai ses petites merveilles et essayai de deviner la forme de ses pieds, de ses orteils, à travers ses chaussettes. Ils avaient l'air parfaits : des pieds égyptiens comme je les aime ! De même, je me tenais à plus d'un mètre d'eux mais je pouvais sentir une odeur forte, due aux deux heures de tennis qu'il avait faites activement le matin. Oui Lucas était sportif, à mon plus grand bonheur. J'avais pour habitude de me tenir prêt à son retour de l'entrainement. Je le laissais aller prendre sa douche et pendant ce temps, je me ruais sur ses chaussettes trempées de sueur pour les renifler et me faire plaisir avec.
Ce garçon était vraiment un ami parfait. Il me donnait du plaisir avec ses belles chaussettes, ses beaux pieds et sa belle gueule OK, mais il n'y avait pas que ça. On s'entendait bien. Et je me sentais vraiment proche de lui... un peu comme s'il était mon grand frère.
Au bout de 70 minutes de match, son équipe avait marqué 2 but, et mon équipe 3. Je réfléchissais déjà à ce que j'allais bien pouvoir lui demander pendant tout un week-end !! Je le narguais. Cependant, je me méfiais toujours car le match n'était pas terminé. Au bout de quelques minutes, Lucas avait un sourire qui s'étirait sur tout son visage. Paris venait de marquer. Les deux équipes avaient donc le même score : 3-3. A quelques minutes de la fin, un temps supplémentaire était ajouté.
« OUUUUUAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIISSSSSSSS ! » cria Lucas. Son cri s'entendit probablement dans tout l'internat. « Tu ne sais même pas où tu t'es engagé, mon p'tit Léo ! » Tu es prêt à faire tout ce que je vais dire pendant deux jours entiers ?
- Si je n'obéis pas, tu ferais quoi ?
- Tu n'as pas le choix Léo, on a parié. Tu acceptes d'être mon esclave ?
- Nan mais ça me tente pas trop là... je trouve ça un peu débile. T'es sûr de toujours vouloir faire ça ? Pendant tout un week-end ?! Tu vas même pas savoir quoi me faire faire pendant tout ce temps !
- Tu te moques de moi ? Je ne vais pas te lâcher... et tu n'aurais jamais du dire ça, je vais trouver ! J'ai déjà des idées qui vont t'occuper plusieurs heures, mon garçon. Mais si tu n'acceptes pas, je vais utiliser la force. Tu sais quelle force j'ai, grâce à tous mes entrainements de sport. Tu sais tout de moi... donc à ta place je ne me défilerais pas !
- C'est bon j'accepte... détends toi !
- OK tu n'as pas compris, apparemment. On a dit que le perdant serait un esclave. Donc premièrement, tu vas me parler mieux que ça, mon garçon. Deuxièmement tu feras tout, mais vraiment tout ce que je vais te dire. » En espérant aucune réponse de ma part, Lucas se retourna et ne perdit pas une seconde pour commencer à appliquer ma peine : il marcha jusqu'à la porte et la verrouilla.

« Nous allons commencer par la première épreuve. Je trouve que tu n'as pas été sage, tu as failli refuser l'application du pari. Cinq secondes après ma victoire, tu es déjà à pleurnicher et à essayer de passer au dessus des règles. Tu vas donc devoir être mis à l'épreuve de la fessée. Mets toi à quatre pattes, tout de suite.
- Je suis désolé, dis-je d'un air apeuré.
- Il vaut mieux que tu le sois ! »
Il descendit lui même mon pantalon et mon boxer afin que j'aie le cul nu et me frappa fortement. Je gémis.
« Ce n'est qu'une partie de ta punition! Tu vas être un petit esclave et faire tout ce que je vais te dire, hein ? Tu as bien compris cette fois ci ?
- Oui, monsieur.
- C'est très bien. Tu es un bon garçon. Tu vas m'appeler comme ça tout le week-end. Ou alors tu auras la possibilité de recevoir mon pied très fortement sur ton cul nu, ça marche ?
- Oui je vous le promets s'il vous plait ne continuez pas, suppliai-je !
-  « Monsieur », appuya-t-il d'un air dominateur
-Monsieur, je ferai tout ce que vous direz ! Je vous en supplie.
- Très bien mon garçon. J'arrête, on dirait que vous avez compris. »
Il s'arrêta de me frapper.

« Que penses tu de cette leçon de respect ? »
- Elle était bonne, Monsieur ! J'ai compris maintenant.
- OK, si nous avons d'autres ennuis au cours de ce week end, je pourrais utiliser cette raquette.
- Je ferai tout ce que vous dites. Ne soyez pas cruel, pitié.
- Je ne le serai pas, je te le promets. Tu joueras le jeu jusqu'à la fin, c'est promis ?
- Oui je vous le promets, Monsieur. Je ferai tout, tout. Je répondrai à tous vos désirs. » répondis-je d'un air on ne peut plus soumis.
Il me caressa doucement le dos. Il me demanda de lancer le pantalon de survêtement qui était encore enroulé autour de mes chevilles. Je l'ai fait. Je me retrouvai alors les jambes à l'air, toujours avec mon boxer.

« Je vais te donner une petite leçon théorique de respect, le temps que tu te reposes un peu, et que ce petit cul se rafraichisse ! Je veux que tu t'allonges par terre sur le dos, avec la tête sous mon bureau. »
Il a tiré une chaise à roulettes pour me laisser m'allonger tranquillement. Une fois bien placé, il remis la chaise au dessus de moi et s'assit. Je sentis et vis donc ses jambes se rabattre de chaque coté de mon corps.

« Très bien mon garçon ! Ta leçon va être très simple mais va être constructrice pour toi. Après celle ci, tu auras fait preuve d'un grand respect pour moi ! Attention je ne veux pas entendre une seule plainte. Je ne veux pas te voir bouger. Je veux que tu sois calme. »
Je ne savais pas ce qu'il allait faire, je pensait qu'il partirait et me laisser attendre là... Et il ne me laissa pas dans l'ignorance :
« J'ai une tonne de devoirs à faire. Trois documents de 10 pages à analyser... je pense en avoir pour quelques heures. Je vais m'y mettre tout de suite. »

Il n'y eut alors plus aucun bruit. Il s'était sans doute mis à lire ses documents... puis je sentis quelque chose se rabattre de chaque coté de mon visage pour se poser dessus. Les deux pieds en chaussettes de Lucas m'empêchaient alors de bouger. Mon visage était alors bloqué et lui était imposée une odeur virile de sueur : son odeur était complètement exposée à mon nez. Ses pieds que j'admirais depuis tant de temps... j'étais soumis à eux, j'étais à leur disposition. Ses pieds étaient grands et lourds, et ses chaussettes étaient chaudes, voire humides.
Tout cela m'excitait ; je ne pus m'empêcher de laisser sortir un petit bruit étouffé... mais il s'est empressé de me faire taire : « Calme, mon garçon. Je t'ai dit, je ne veux aucune plainte. Tout ce que tu as à faire, c'est être silencieux, et tenir gentiment compagnie à mes pieds, me dit-il en tapotant doucement mon visage avec son pied chaud. Maintenant que mes pieds te contrôlent et subissent les bien faits de ton visage. Imprègne toi de leur odeur, respire les tranquillement, le temps que je fasse mes trois documents. Et surtout garde ton calme, pour que je puisse me concentrer. »
Il semblait attendre quelques instants pour voir si j'avais compris le message. Je restai immobile et silencieux, accablé et immensément excité par la vue, l'odorat, et la sensation de ses pieds, si puissants, sur mon visage. Il recommença alors à travailler sur son ordinateur. Je sentis ses pieds se détendre et s'alourdir sur mon visage. Ils s'étaient alors installés pour un long moment.

Alors toujours allongé et mes yeux cachés par les pieds de mon ami Lucas, je ne voyais rien. Deux choses dominaient pour moi : la chaleur que ses pieds produisaient sur mon visage. Je pensais qu'ils allaient se refroidir, mais ce n'était pas le cas : la chaleur demeurait. La deuxième chose était le son des touches de son ordinateur retentir plusieurs fois par seconde.
Tout à coup il bougea légèrement son pied droit et fit craquer son gros orteil contre ma joue. J'étais devenu son objet, son repose-pied humain. Il devait surement ressentir une énorme sensation de domination... mais ne l'exprimait pas. Il continuait à taper sur son PC.
Après quelques minutes de plus, il s'est reculé un peu sur sa chaise pour faire une pause : Le son des touches s'arrêtait donc – je l'entendis ouvrir une cannette de soda et prendre quelques gorgée. Surement fatigué de son travail, Lucas voulait surement se détendre, à l'aide de cette cannette. Il se servait aussi de moi pour reposer ses pieds : il s'amusait à frotter ses pieds contre mon visage, pendant, disons 20 secondes. Cela lui faisait probablement du bien, après l'entrainement de tennis qu'il avait fait durant la matinée, et pendant lequel il avait porté des chaussures de sport très serrées... et sa détente faisait mon plaisir ! J'avais l'impression que leur odeur pénétrait en moi, et cela m'excitait réellement. Il se remit ensuite dans sa position initiale et retapa sur son ordinateur.



Soudain, il leva les pieds de mon visage et s'arrêta de frapper. Je me dis alors : « mon épreuve est enfin finie ! ». Je m'apprêtai à me relever. Mais non, le pied revint à mon visage... nu ! Il souleva l'autre et je l'entendis enlever sa deuxième chaussette. J'eus alors la sensation de son pied nu sur mon visage. Sa peau douce et tiède contre mes joues, mes yeux, ma bouche. Maintenant libérés de leurs chaussettes, ses pieds détendus travaillaient à l'aide de mon visage : par moments, Lucas pliait et dépliait ses orteils, pour se détendre et apprécier son travail. De même, il s'amusait aussi à les frotter de haut en bas et de bas en haut, en alternance. Cela a duré un bon moment.

Ensuite il lâcha un grand soupir et s'arrêta de taper sur son clavier. Il fit quelques mouvement, ouvrit son tiroir pour attraper son lecteur MP3. Il mit de la musique pêchue, et bougeait ses pieds sur le rythme de la musique. Dans un premier temps, il laissait son talon posé sur mon menton et frappait toute la surface de sa plante et ses orteils sur ma tête. Ensuite, il changeait : il plantait ses orteils sur mon front puis frappait en rythme son talon sur ma bouche. Parfois au cours de la chanson, certaines parties étaient plus pêchues, plus entrainantes, et je le ressentais ! Il frappait carrément mon visage avec ses pieds, me donnant des petites gifles très humiliantes. Mais je ne pouvais rien dire... et même si je disais quelque chose, il avait ses écouteurs et n'entendrait rien du tout. Tout ce que je voyais était son géant pied, monter et se rabattre sur mon visage.

Malheureusement pour moi, dès qu'une chanson se terminait, une autre prenait le relais. Je pense que Lucas a écouté plusieurs CD... et c'était très long pour moi. Différents genres, différents artistes, ce qui lui faisait faire, avec ses pieds sur mon visage, des rythmes très variés ! Des rythmes très rapides, puis très lents, puis des mélodies inspirant le calme : Lucas a, à ce moment là, frotté doucement ses pieds sur mon visage en captivité, afin de se masser. Une fois cette chanson terminée, j'anticipais un nouveau rythme... mais non, plus rien, plus de musique. Il y eut un long silence, et Lucas retira ses pieds de mon visage et recula sa chaise.
« Tu es encore éveillé, Léo ? me demanda-t-il.
- Oui Monsieur.
- Tu m'étonnes, je suppose que ce serait difficile de m'endormir dans cette situation... J'ai presque fini mon deuxième document.
- D'accord Monsieur. Puis je encore m'excuser pour vous avoir manqué de respect tout à l'heure ?
- Non pas besoin. Tu viens de perdre un pari, tu dois faire face. Tu es toujours d'accord pour répondre à tous mes désirs ?
- Oui, bien sûr Monsieur. J'ai promis et je le ferai.
- Très bien mon garçon. Il me faut encore une heure et ensuite nous trouverons quelque chose de mieux à te faire faire. »
N'espérant aucune réponse de ma part, il avança de nouveau son siège et reposa ses pieds sur mon visage.


Il recommença à taper sur son ordinateur et ses pieds restèrent immobiles quelques minutes.
« Oh mon petit Léo... je suis presque au bout de mes devoirs mais la fin est vraiment dure... le dernier document est très dure. Je vais avoir besoin de toi pour passer un moment plus plaisant. J'apprécierais encore plus ton visage si tu avais la bouche légèrement ouverte. Peux tu essayer ?
- Ma bouche ouverte, mais pourquoi ?
- Ne t'inquiète pas, laisse moi faire... tu as vu que j'étais un bon maitre ! Tu peux me faire confiance. Allez ouvre ta p'tite bouche ! »
Je me demandais ce qu'il allait encore pouvoir faire en me demandant ça. Mais je ne pus faire autre chose qu'obéir. J'entrouvris donc la bouche et attendis. Quelques secondes plus tard, le pied de Lucas bougea. J'allais alors savoir ce qu'il avait derrière la tête ! Je sentis son gros orteil pénétrer dans ma douche puis ressortir. Ensuite il essaya d'introduire plusieurs orteils, puis tous. Ma bouche était devenue son nouveau jouet, et j'étais complètement passif : je devais juste l'ouvrir et me laisser faire. C'était atrocement humiliant mais plaisant.
« Alors Esclave, que penses tu d'avoir mes orteils en bouche ? J'ai pensé que ce serait un beau cadeau à te faire ! Ça te plait ?
- Oh oui mon maitre. Merci.
- Oh je n'étais pas sûr que tu aimerais ! Mais si tu aimes ça, je te propose de léchouiller mes pieds quand ils sont dans ta bouche alors. J'te remercie ! »
Il se remit au travail sans attendre de réponse. Je pensais être au sommet mais non, il en rajoutait encore et encore, et là, j'étais sa chienne. Sous son bureau allongé, ses orteils dans ma bouche, que je devais lécher. A ne rien pouvoir dire ni faire.

Enfin, il me dit avec un grand sourire : « Terminé ! »

Je laissai échapper un soupir de soulagement et il me lança en riant : « Pensez tu que tu as passé assez de temps en repose-pieds ? 
- Oui Monsieur.
- Tu sais, je pourrais te donner quelques autres fonctions qui pourraient être tout aussi humiliantes... tu es d'accord ?
- Oh oui Monsieur !Je ferai tout ce que vous dites. J'attends impatiemment ma nouvelle tâche.
- Très bien mon garçon. Mes pieds sont très contents de t'avoir, tu sais ! Mes orteils surtout ! J'adore comment tu les lèches, c'est fascinant ; avec le bout de ta langue ! Il va falloir refaire ça. Je vais y réfléchir. Lève toi maintenant. »
Il avait enlevé ses pieds pour me laisser me redresser. Je me relevai lentement, après avoir passé tout ce temps allongé. Je respirai alors l'air pur. Lucas s'assit sur son lit et me laissa quelques minutes. Toujours pieds nus, il s'étendit sur son lit et feuilleta un magazine sportif.

« Très bien mon garçon. Tu as fait preuve de respect envers moi pendant plusieurs heures. Tu t'es soumis à mes magnifiques pieds mais tu n'as pas pu être actif. Je vais donc te laisser en tête à tête avec eux : cette fois ci tu contrôleras tes faits et gestes. Tu choisiras ce qui te semble le mieux pour leur faire du bien. Pour commencer je te propose de t'asseoir et de les embrasser !
- Oui Monsieur, tout de suite ».
Il m'avait dit tout ça sans lever les yeux de sa revue, et il ne regardait pas si j'obéissais. Tout son visage était caché par le magazine. Je ne pouvais pas y croire. Je m'agenouillai donc devant ses deux merveilles. Assis sur mes talons, j'admirai ces deux grands parfaits, les pieds nus de mon ami, relaxés, après avoir passé plus deux heures en contact direct avec mon visage.
« Allez action baise moi les pieds mon garçon ! » me dit Lucas qui perdait patience. Il a répété la phrase. Avec une profonde admiration envers mon meilleur copain, j'ai lentement humidifié mes lèvres avec ma langue et appliqué le premier baiser. « Bien mon garçon. Tu fais un très bon travail. Continue, je vais profiter de ça ».



Je m'installai convenablement et me mis au travail, embrassant les pieds nus de Lucas. Me comportant comme l'esclave parfait, je commençai en bas de son pied, sur ses talons, puis je montai sur ses plantes, j'embrassai chaque centimètre, en montrant ma vénération pour le pied de mon maitre. J'arrivai ensuite à ses orteils : j'embrassai chacun d'eux à plusieurs reprises. Il tourna une page de son magazine et me dit : « Continue, c'est bien. »
J'ai obéi. Je remouillai mes lèvres pour qu'il sente que chaque baiser était sincère. Lucas changea la position de ses pieds. J'embrassai encore et encore ses pieds, dégustai la salinité de ses pieds masculins. Pendant que lui était toujours aussi détendu à lire son magazine et à m'ignorer presque ! On pourrait croire qu'après tant d'heures avec eux sur mon visage, je serais à l'abri de leur fort parfum, mais ici, à genoux devant eux, mon nez sous ses orteils, je sentais ses pieds plus profondément que jamais... Tout cela a peut être duré une heure, sans aucune attention de sa part, jusqu'à ce que...
« C'est un bon travail, jeune garçon. Tu vas pouvoir continuer, en vous appliquant : mes pieds ont besoin d'un travail un peu plus... approfondi. Ils sont fatigués, tes baisers ne suffisent pas. Tu sais ce matin. J'ai fait un match contre Dylan. Il m'a fait courir, tu n'imagines même pas comment ! J'ai transpiré comme un fou ! Donc tu vois je pense que mes pieds ont besoin d'être un peu plus entretenus. Il faut les nettoyer. Je te laisse t'en occuper.
- Oui Monsieur. Je vais chercher une serviette et un peu d'eau. » J'ai commencé à me lever, mais il m'a arrêté rapidement.
« Olla ! Cher esclave, je n'ai rien dit au sujet de serviette et d'eau...
- Et bien comment suis-je censé les laver, alors, cher Maitre ?
Il sourit et retourna à son magazine. La tête cachée par les pages de sa revue, il me répondit :
- Avec ta langue, mon Léo. Allez mets toi au travail. Applique toi bien. »
Je ne répondis rien, je voulais refuser, mais je savais qu'il m'obligerait à lécher ses pieds. Je soupirai et m'avançai vers eux lentement. Je voulais avoir l'air de quelqu'un qui n'aimait pas ça : « Dois-je vraiment le faire ?
- Oui mon garçon. Et faites cela avec un bon rythme. Mes pieds vont adorer ça! »

Il gloussa et je pris une profonde inspiration. Mouillant ma langue, je l'ai glissée sur son grand pied, du talon aux orteils. « Ahh, c'est une sensation incroyable. Je vous emploie à cette tâche jusqu'au diner. Disons, pendant deux heures ? » Il feuilletait à nouveau son magazine.
« Oui mon Grand Maitre » dis-je doucement et en commençant à lui lécher les pieds nus, comme s'ils étaient des cornets de crème glacée. Il aimait ça, clairement, et je pouvais apercevoir un sourire satisfait glisser sur son visage. Il a lu un peu plus longtemps que prévu et ensuite jeté le magazine.
Il saisit la télécommande de la télé et zappa jusqu'à trouver la chaine de sport.
Afin de trouver une situation de confort maximale, il bougea ses pieds, jusqu'à trouver la position parfaite, tout en sirotant un soda. Il était alors, le roi de notre chambre, comme au début de l'après midi :couché sur son lit, de tout son long, une boisson à la main, devant la télévision, tranquille... cette fois ci, un élément le rendait encore plus royal : son colocataire était en train de s'appliquer à bichonner ses pieds.
« N'oublie pas mes orteils... Lèche comme tout à l'heure, avec le bout de la langue, c'était formidable... et lèche entre eux, aussi ! Cela peut être super bon. »

Je ne répondais pas, trop humilié, et je m'exécutais à ses ordres. Je commençai à lécher chaque orteil, puis glissai ma langue sur tous ses orteils à la fois. Ensuite je léchai entre ses orteils, ce qui créa une respiration un peu plus forte que les autres de sa part. Il a souri et me dit : « C'est un bon travail, mon garçon. Tout est bien, maintenant. Tu continues à me lécher les pieds, le talon, la plante, les orteils... Applique ta langue tout entière sur le long de mes pieds. Implique toi ! Je passe un excellent moment. Je veux que tu continues tes efforts ! ». Il me laissa encore lustrer ses plantes et ses orteils quelques dizaines de minutes.
Puis il retira ses pieds de mon visage et me dit : « Tu as fait un bon travail. Tu auras la chance que je t'emploie à nouveau pour t'occuper d'eux ! Je te donne une pause.
- Je vous remercie, Maitre.
- Pas de problème ! Tu as fait ce que je t'ai demandé. Tu es un bon petit esclave. Tu as très bien lavé mes pieds... je parie qu'ils sont délicieux, n'est ce pas ?
- Oui délicieux ! »
Il vit ma frustration et se mit à rire.
- Savoureux, mon garçon ! Je vais trouver un film à regarder. Prends ta pause et reviens t'occuper d'eux ! Cela va être un long et génial week-end !!! 

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