Une scène qui nous fait tous rêver : lécher les pieds d'un footballeur !

J'étais venu pour voir mon ami Alexis chez lui, pour discuter, comme nous faisions bien souvent, allongés dans sa chambre, la tête vers le plafond. J'entrais donc et je fus accueilli par sa maman : "Il n'est pas là, il est parti à un match. Il revient dans quelques minutes, attends le, David, si tu veux!" - "Merci ! D'accord je l'attends. Puis-je monter dans sa chambre ?" - "Oui bien sur fais comme chez toi", me répondit elle.
Je m'exécutai donc et montai dans la chambre de Corentin, à l'étage de la maison. Sans surprise je constatai qu'elle était en désordre, avec du linge sale par terre... parmi celui ci, DES CHAUSSETTES ! Je tâtai autour de moi pour vérifier que j'étais seul et m'assis à coté d'une de ces paires. Je saisis une chaussette et la respirai à plein nez. Corentin avait une odeur fabuleuse, de vanille. J'étais fou de celle ci, j'aurais voulu l'avoir en moi. Plongé dans mes pensées et dans un début de jouissance, je n'avais pas entendu mon ami entrer, et soudain, il poussa sa porte de chambre et me vit, sa chaussette tout contre mon nez.

"Putain mon pote qu'est ce que tu fous, à sentir ma Sock ?"
Je ne sus quoi répondre. Mais lui n'attendait aucune réponse.
"Tiens, il y a ça aussi, que tu pourrais sniffer !". Il me fonça dessus et m'appuya son pied encore en chaussettes sur mon visage. Il était grand... incroyablement. Il devait tailler au moins 45. J'adorais ça, et mon ami le devinait : je ne me débattais pas. Comme il me l'avait conseillé, je sniffais. Je sniffais encore et encore son pied. Mais j'adorais beaucoup plus : cette fois ci, ce n'était pas une simple chaussette : c'était lui qui me regardait le sniffer, me soumettre à lui, exhiber mon fantasme, et me donner lui même son pied à sniffer. C'était bien plus excitant.
"Bah alors mon pote, tu as l'air de kiffer, mais ça de manque peut être encore un peu de gout !Je vais te faire gouter mon pied nu, ne t'inquiète pas, mon pote. Tu sais, ce match a été très dur. J'ai joué pendant toute sa durée, j'avais terriblement chaud. J'ai transpiré comme un fou... affreux. Mes pieds ne sentent pas trop ?"
Alors je lui répondis en souriant et en les sentant : "Si, ils sentent énormément. Ils sentent la vanille, c'est fabuleux."

Corentin sourit : "Goute ma vanille, mon pote. Renfermés pendant une heure et demi dans mes chaussures, j'ai très mal tu sais. J'ai besoin de ta bouche, de ta langue pour calmer ma douleur. Alors embrasse mes pieds, puis lèche les... empare toi d'eux, imprègne toi de cette vanille que tu aimes tant. Je veux que ta langue les envahisse et qu'elle passe entre mes longs et fins orteils. Je veux que tu suces mes orteils un par un et que tu les vénères. Lèche les, lèche mes pieds, mon pote. Lèche mes pieds comme tu n'as jamais rien léché. Donne moi du plaisir."

Tout homme comme moi n'aurait pu refuser une demande aussi convaincante !! Tout cela était un jeu pour Corentin, et pour moi c'était l'occasion de réaliser un rêve : lécher les pieds d'un footballeur...