dimanche 13 février 2011
Une histoire de pieds... la suite!
Deuxième partie
Max se leva, rechaussa ses tongs et se tourna vers moi pour me faire un grand sourire, une nouvelle fois. Je rangeai mon assiette, serrai la main de mes amis et me dirigeai vers ma tente, que Max avait soigneusement montée avant que j'arrive. Je le connaissais depuis plusieurs années, et de nombreuses fois j'avais pu voir ses pieds nus. Dés qu'un rayon de soleil apparaisait, Max laissait respirer ses pieds et donc, je pouvais mater tant que je voulais ! Ses ongles étaient toujours bien coupés et propres, et comme je l'ai déjà dit, ses pieds tout entiers étaient magnifiques... je ne lui avais jamais parlé de mon trip pour les pieds car c'était mon pote, et je voulais le garder tel quel. Je n'avais donc jamais touché à ses petites merveilles, ni rien fait avec.
Mais là, qu'il touchait ma queue avec ses pieds nus, c'était forcément volontaire ! C'était de la provocation ! Sans me l'avouer, je rêvais depuis longtemps de ses pieds, et j'espérais bien quelque chose avec eux... Dans la tente, je retirai mon pantalon, mon tee shirt et mes chaussettes. Je me couchai dans le petit lit de camp. Dans ces pensées fabuleuses, je m'endormis lentement, avec l'image des pieds de mon ami.
Je me reveillai le lendemain matin. Je n'avais pas très bien dormi dans cette tente... malgré la chaleur qu'il avait fait pendant le jour précédent, la nuit avait été très fraiche. Je restai là, allongé, pour me reposer. Environ une petite heure après, alors que je m'étais rendormi, j'entendis un bruit de fermeture éclair.
-Bonjour, lança un jeune homme, avec un grand sourire aux lèvres. C'était Max qui venait me réveiller.
-Salut toi !
En ce matin frais, il avait laissé ses tongs pour une paire de baskets grises.
-Je peux entrer ? me demanda-t-il poliment
-Oui bien sûr !
Il retira soigneusement ses belles Nike et les déposa à l'entrée. Moi toujours dans le lit, je me reveillai lentement. Lui s'assit sur mon lit, face à moi. Il positionna ses pieds en chaussettes blanches, de la même marque que ses chaussures, tout près de moi.
-Les mecs sont partis chercher des affaires chez eux. On t'a pas reveillé... vu que tu étais fatigué, hier soir. On préfère que tu sois en forme pendant la répet !
-Ok merci c'est gentil, dis-je en souriant.
-Bah de rien, on n'est pas si cons que ça, quand même ! Je peux mettre mes pieds sous la couette ? J'avoue que j'ai pas chaud, là.
-Oui bien sûr vas y ! dis-je en sentant une sensation d'excitation m'envahir.
Il s'executa alors. Nous discutâmes un peu du programme de la journée quand je sentis quelque chose se frotter à ma queue. Cela me rappela la veille, sur le canapé. Je n'avais pas besoin de vérifier. C'était une fois de plus son pied qui me caressait ! Mais cette fois ci, c'était différent : il n'y avait personne d'autre que nous deux. Nous étions seuls, dans cette tente. Je m'allongeai alors pour profiter pleinement du plaisir que me donnait Max. C'était beau... et cette fois, je savais vraiment qu'il faisait ça volontairement. Alors j'ai eu envie de lui parler.
-Max tu fais quoi ? demandai-je en lui souriant perversement.
-Et bien, je te caresse, avec mon pied, que tu aimes tant regarder dés que tu peux. Et tu as l'air de kiffer, petit coquin.
-Je regarde ton pied ? Moi ? dis-je ironiquement
-Oui, j'ai remarqué. Ne t'inquiète pas, je t'en veux pas. Tu n'aurais pas du te priver autant ! On est potes, tu peux me demander plein de choses que j'accepterais sans doutes...
Ces paroles furent déclencheuses de quelque chose de fort, en moi. Après tant d'attente, de fantasme sur ses pieds, tout ça devait s'arrêter. Je saisis son pied sans réfléchir et le collai à mon nez. Je fis de grandes inspirations. Sa chaussette était propre de ce matin mais s'était déjà impregnée de l'odeur de Max, qui était discrète mais terriblement délicieuse. Je la sniffai alors encore et encore. Je regardai Max : il avait fermé les yeux, surement pour profiter du premier contact entre ses pieds et moi. Il avait l'air d'apprécier vraiment. Je continuai donc, en lui enlevant sa chaussette progressivement, pour laisser le suspens. Je touchai son pied nu, le découvrai. Je n'osai pas approcher ma bouche. Cela faisait beaucoup d'émotion pour moi, tout ce plaisir !
-Allez mon pote, lèche ! Lèche, embrasse mes pieds ! Fais toi plaisir.
Sa réaction me surprit. Mais je m'executai. J'en mourrais d'envie depuis si longtemps... Je plaquai doucement ma langue sur chaque partie de son pied que je découvrai. Une fois tout son pied découvert, j'étais heureux. Pour la première fois, ses pieds étaient à ma merci. Je fis alors défiler lentement ma langue sur sa plante, tout en profitant des premières sensations. Sa peau était incroyablement douce. La lécher était vraiment délicieux. Je continuai jusqu'à ses magnifiques et fins orteils, que je léchai et suçai un à un. Je regardai à nouveau Max. Sa respiration s'accelerait, et j'observai qu'il avait glissé sa main sous son pantalon. Je me rendis alors compte que ce que je lui faisais lui faisait de l'effet. Pour lui en faire encore plus, je frottai mon pied à son pantalon. Puis je lui enlevai lentement son pantalon, pour n'avoir plus que son boxer comme intermédiaire avec sa queue. Je lui fis alors encore plus d'effet. Sa respiration était si intense et accelerée ! A travers son boxer, je voyais que sa queue devenait de plus en plus grande, et bougeait entre chaque respiration.
-Oh, me dit-il. Tu me fais trop de bien, putain ! Adrien, enlève le moi s'il te plait !
Max n'en pouvait plus. Il était au bord du plaisir à son apogée. Je m'executai pour continuer à lui donner ce plaisir fou, ce qui me laissa voir son tube.
-Oh, ça va gicler ! Je t'en supplie, approche. S'il te plait.
Sa proposition me surprit une fois de plus, mais j'en avais terriblement envie. Et lui aussi ! Il me suppliait de mettre fin et de lui donner encore plus de plaisir : Suprême ! Il n'arrivait plus à se retenir. J'approchai alors ma tête et ma bouche et m'exécutai. Je jouai avec ma langue autour du bout de son tube. Max était à bout. Il poussa de merveilleux petits gémissements, preuves de plaisir vraiment intense.
-Prépare toi. Ohhh...
Je sentis alors un liquide chaud se pulvériser dans ma bouche, par grandes pressions. Max avait joui en moi. J'étais comme dans un rêve. Jamais de ma vie je n'aurais imaginé une si belle scène... pas même en rêve. Une fois fini, je m'allongeai tout près de lui et lui embrassai la joue. Il me sourit. Lui aussi, était heureux.
-Merci, c'était génial. C'était la première fois que je faisais ça, et avec toi, j'ai vraiment aimé. Ca restera entre nous, si tu veux bien. J'oublierai jamais. Dans ta bouche, hummm, ajouta-t-il en pouffant
-Ouais, répondis-je en souriant à nouveau. Juste énorme. Tu m'as épaté, Max. Moi aussi, ça m'a donné beaucoup de plaisir. Et tes pieds sont trop beaux, mec! Je pourrais passer une nuit entière à les embrasser. Et je suis trop content de t'avoir fait jouir...
-On remettra ça, mec ! Je te le promets.
Le week end se termina très bien, Max n'arrêta pas de me faire des petits sourires en coin. Cette expérience nous avait on ne peut plus rapprochés. Il portant, à chaque fois que nous nous voyions, des tongs, et me faisait déguster ses pieds que j'aimais toujours autant. Max était devenu mon meilleur ami, et même plus. Nous avions ensemble une relation intime. A présent, nous partagions TOUT !
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